jeudi, avril 20, 2006

Fermeture par la préfecture de Paris du célèbre restaurant Constantinescu


Afp.20 avril 2006 - Constatinescu, célèbre restaurant Roumain de la rue du Nil à Paris a du fermer ses portes après décision émanant de la Préfecture de Police de Paris. Ouvert de puis 1928, le rendez-vous préféré des gourmets bessarabes et autres anarchistes ou révolutionnaires sub-danubiens avait été mardi dernier le théâtre d'une horrible découverte après qu'un client ait trouvé parmi ses mezelunaci - petites pâtes farcies au fromage de lait de mite en forme de demi-lune servies dans un fond de bouillon de poule parfumé au cumin - la paupière d'un homme de très grande taille.

Cousue comme une petite outre et contenant des cheveux synthétiques dont l'expertise est en cours, la paupière portait également sur une de ses extrémités un minuscule tatouage représentant le portrait de l'humoriste mystérieusement disparu Teddy Vrignault.

Alexandre Constantinescu, petit fils du fondateur et actuel propriétaire de l'établissement, se déclare profondément choqué par cette découverte "étrange et macabre" et souhaite la réouverture du restaurant "dès que possible".

99 Luftballon


Olivier Besançenot ne roule pas qu'en vélo . C'est du moins ce que l'on peut lire dans la récente biographie du porte-parole charismatique de la LCR écrite par Patrick Ramseyer, ex-militant de l'organisation trostkyste, intitulée " La brinquebale avec Olivier Besançenot ". Editions Droserat. Interviewé par la Tribune de Genève le 28 mars, il livre de passionnantes révélations.

TdG: Patrick ramseyer, vous venez de publier un ouvrage étonnant qui apporte un éclairage stupéfiant sur la personnalité d'Olivier Besançenot. On est loin, en lisant votre livre, du petit facteur austère qui ne fume ni ne boit. En fait c'est le portrait d'un véritable Sardanapale que vous avez dressé avec le talent d'écrivain populaire qu'on vous connait...Mais comment avez-vous découvert le pot aux roses?

P-R : Un soir, je devais coller des affiches pour la ligue avec un camarade, Bernard, dans le quartier du Trocadero. On est tombés sur Olivier à un feu rouge, et là, on a eu ce qu'on appelle la berlue : Olivier était sapé comme un nabab dans un costume Gucci et conduisait une grosse Jaguar en compagnie d'une très belle fille blonde...genre Carole Landis, si vous voyez ce que je veux dire... En s' approchant, on s'est aperçus qu'il était complètement chiredé. Le camarade, vraiment cool, nous a rendu notre signe en rigolant et nous a invités à monter dans sa caisse. On est montés, hallucinés. Dans la bagnole, ça puait l'Afghan et c'était un bordel inimaginable: bouteilles de Röederer vides partout, paquets de préservatifs ouverts, mégots de joints, barquettes de tarama Fauchon à moitié vides et renversées sur les banquettes en cuir de Cordoue. Incroyable. Avec Bernard on s'est regardés, sidérés. Olivier a démarré en trombe.

TdG: Incroyable, en effet, et ensuite...

P-R : ...La fille à coté de lui etait vraiment très sexy et n'arrêtait pas de se dandiner sur son siège comme si elle avait le feu ou vous savez. Olivier la regardait sans arrêt, les yeux en trous de bite...je me souviens d'un détail, je veux dire un truc... un mince filet de bave sur le menton de notre camarade dans lequel on pouvait distinguer quelques oeufs d'esturgeon sevruga....

TdG: Du caviar quoi!

P-R: Oui, du caviar, juste quelques petits oeufs minuscules, comme les oeufs que les poissons laissent accrochés aux herbes des rivières pendant le fret, du lumpen...du lumpen...mais là, ils adhéraient, brillants, sur son menton mal rasé. On a roulé pendant une demi-heure à tombeau ouvert, en faisait des grandes embardées en plein Panâme. Olivier n'arrêtait pas de brailler en allemand...

TdG: En allemand?

P-R : Ouais...un tube des années 80, 99 Luftballon, je le connaissais bien j'avais le disque, tu veux que te la chante? allez, je te chante le début, hein? Hast du etwas Zeit für michDann singe ich ein Lied für dichVon 99 Luftballons Auf ihrem Weg zum HorizontDenkst du vielleicht g'rad an michSinge ich ein Lied für dichVon 99 LuftballonsUnd das sowas von sowas kommt99 Luftballons Auf ihrem Weg zum HorizontHielt man für Ufos aus dem AllDarum schickte ein General'Ne Fliegerstaffel hinterherAlarm zu geben wenn's so wär Dabei war'n dort am Horizont Nur 99 Luftballons 99 DüsenfliegerJeder war ein grosser Krieger Hielten sich für Captain Kirk...

TdG: Ok, ok, tu la connais bien cette chanson...c'est clair...et après, vous êtes allés où avec ton pote et Besançenot?

P-R : Ben, Olivier, s'était apercu que les seins lourds de la fille ballotaient en roulant, alors il accélérait, décélérait brutalement exprès pour les faire trésaillir tout en nous jetant des oeuillades... il a freiné si fort Place de l'étoile, que ses nichons sont carrément sortis de sa robe d'un coup sec et que la môme s'est cognée la tête dans le pare-brise! Olivier s'est retourné vers nous en ricanant comme un dément et a redémarré. Et là, il a fait un truc inouï : tout en continuant à rouler à tombeau ouvert, il a réussi d'une seule main à rouler un pétard sur la cuisse de sa fiancée tout en arrachant à la fin l'étiquette de sa culotte pour faire le filtre! Là, on lui a fait une petite ovation depuis la banquette arrière! Le bedos a tourné, on s'est marré comme des baleines! Et puis en sortant de Ripa on a pris une voie privée dans le bois de Boulogne et on s'est garé devant un Hôtel particulier. On est sortis et olivier a pris un air goguenard, disant: "Gardez ça pour vous camarades, mais ça, ç'est ma turne!" On lui a dit qu'on ne le croyait pas, que pour la bagnole ça pouvait être une location, mais qu'on savait bien qu'il créchait dans le 18. Il a répondu " mon studio dans le 18 , c'est des rases, en vérité, je crèche ici, mais je ne peux pas le dire, les camarades ne comprendraient pas. Je tiens cette baraque de mon vieux qui n'était pas tourneur-fraiseur à Issy les Moulineaux, mais Président du groupe Axa. Bernard m'a jeté un coup d'oeil, écoeuré. je m'en souviendrai toujours. Ce vrai militant ouvrier, fils d'une femme de ménage assyrienne et d'un fossoyeur de Denain, toujours calme et mesuré, était en train de perdre son sang froid. C'était un mélange de colère et de folie, d'envie aussi parce que la gonzesse avait du lui filer la trique... Bon , là faut comprendre, je veux dire... la Jague, ce petit château à la nuit tombante, avec des promesses de confort infinies, les lustres de cristal qui brillaient discrètement derrière les frondaisons mauves des glycines. Pauv'vieux, ses fringues étaient pleines de tarama et de mégots de joints, il avait même un préservatif collé à une de ses basquettes...Je me suis approché et lui ai dit " Ecoutes Nanard, c'est dur de découvrir tout ça, mais enfin, le copain ne peut pas tout révéler, la Classe ouvrière n'est pas mure pour l'entendre.

TdG: Pourquoi ces propos?

P-R : Mais parce que c'est vrai que les gars de l'organisation, et même les ouvriers devant leur télé préféraient voir Arlette faire griller de côtelettes de porc dans sa cuisine en Formica aux Lilas ou olivier jouer aux boules avec des poivrots aux Buttes-Chaumont que garer une Jague dans le bois de Boulogne. Ils n'auraient pas compris. Pour moi, finalement, ça ne remettait rien en cause, je savais qu'on pouvait avoir hérité du pognon de sa famille et être un militant ouvrier sincère...

TdG: C'est sûr. Et après, vous êtes entrées dans cette belle maison?

P-R: Ouais on est entrés et Olivier nous a encore fait fumer et picoler. Bernard a bien refusé au début, mais l'espoir de pouvoir se faire la fille...Tu comprends ?

TdG: Et il se l'est faite cette fille?

P-R: Alors là, censure, circulez, y-a plus rien à voir...

TdG: Allez...on a l'eau à la bouche!

P-R : Tant pis! Faut acheter mon bouquin!

TdG: On va l'acheter ce livre passionnant et ...euhhh...on pense que tous les auditeurs vont faire la même chose...une dernière question Patrick: pourquoi avoir quitté la ligue ?

P-R: Y-a pas de soucis, je vais vous répondre, moi je suis clair...c'est parce que je milite aujourd'hui au Parti socialiste...

TdG: Au PS.....mais vous reniez complètement....
P-R: ...Mes convictions...Eh, vous les suisses vous feriez mieux de ne pas parler de convictions et d'autres conneries du même genre à des mecs comme moi, je ne blanchis pas de....
TdG: Mais ça n'a rien à voir!
P-R: Mais si. Bon, je crois que cette inter est fini..
TdG: Eh bien, merciPatrick Ramseyer.
P-R: Merci La Tribune....

samedi, avril 01, 2006

Une japonaise panée dans le Parc de la Courneuve: la collecte d'insectes rares prohibée!


(AFP.31 mars)

La mairie de La Couneuve vient de prendre un arrêté interdisant la chasse et la collecte d'insectes sur le territoire de la commune, et en particulier dans les 400 ha du parc du même nom après un grave incident.
Dans la nuit du 22 au 23 mars, un cycliste nu et en état d'ivresse avancée, le corps recouvert d'une substance épaisse et malodorante composée d'excréments et de bière a été appréhendé par la police de proximité au moment où il s'apprêtait à avoir une relation sexuelle avec une jeune femme d'origine japonaise préalablement gavée d'une quantité incroyable d'insectes en tous genres - dont des spécimens rarissimes de coléoptères africains acclimatés depuis peu en raison du réchauffement climatique.
La jeune femme, informaticienne de 21 ans et originaire d'Osaka, descendue dans un hôtel du Bd Saint-Germain à Paris, était activement recherchée après que des compatriotes, inquiets de ne pas la trouver dans sa chambre le matin du 21 mars, aient alerté la PJ du 5ème arrondissement.
Le balbynien, un homme trapu d'une quarantaine d'années, cycliste et chauve, tenant des propos incohérents, aurait séduit sa victime lors d'une soirée dansante Anti-CPE au restaurant Constantinescu, 2 rue du Nil à Paris, avant de l'emmener chez lui, dans la baraque en planches dépourvue de tout confort qu'il partage avec plusieurs membres de sa famille, originaires, comme lui, de l'est d'Hawaii.

Okita Takeshi, fascinée par le balbynien, sous l'empire de la bière, aurait été emmenée par le cycliste dans le parc de la Courneuve et contrainte de collecter des milliers d'insectes pendant une bonne partie de la nuit, seulement équipée d'une lampe électrique et de sacs en plastiques. Pendant son calvaire, elle dit avoir été surveillée en permanence par son bourreau qui n'aurait cessé de décrire des cercles autour d'elle avec son VTT, s'arrêtant régulièrement pour ramasser les nombreux excréments frais laissés par les visiteurs du parc et s'en enduire le corps.
Après avoir rempli plusieurs sacs de grande contenance, épuisée, elle aurait été attachée à un arbre et gavée de plusieurs kilos d'insectes, consciencieusement réduits en bouillie par le cycliste, à l'aide d'un gros entonnoir, ce jusqu'à ce qu'elle perde en partie connaissance. C'est alors que le cycliste aurait consciencieusement pané le corps de sa victime à l'anglaise, avant de tenter d'abuser d'elle.
La réaction du Muséum d'Histoire Naturelle a été rapide. Le Professeur Yvetot du département d'entomologie a déposé plainte au nom de l'établissement public et du Ministère de l'environnement pour chasse et collecte d'espèces protégées au titre de la Convention de Washington. Le maire de La Courneuve a interdit tout contact physique avec des invertébrés sur tout le territoire de sa ville.
Quant à la jeune femme, intoxiquée et gravement panée, elle était encore en observation à l'hôpital Fernand Vidal ce matin.